Au mois de juillet 2024, le nombre d’heures d’intérim prestées a diminué de -1,51% par rapport au mois précédent (en données corrigées des variations saisonnières et des effets de calendrier).

Au cours du premier trimestre de cette année, 73 % des personnes ayant fait l'objet d'un licenciement collectif ont retrouvé un emploi dans les trois mois grâce à l'outplacement.Les travailleurs licenciés voient leurs chances de retrouver un nouvel emploi augmenter. Le nombre de trajets d'accompagnement entamés augmente, et davantage de trajets débouchent sur un nouvel emploi.« Les travailleurs sont en position de force sur le marché du travail », constate Paul Verschueren, Director Economic Affairs chez Federgon.

Au mois de juin 2024, le nombre d’heures d’intérim prestées a diminué de -1,83% par rapport au mois précédent (en données corrigées des variations saisonnières et des effets de calendrier).

Une enquête de L'Echo montre que les entreprises ne sont pas favorables à la prime de 1 000 euros destinée à inciter les employeurs à réembaucher les malades de longue durée. Sur le budget prévu de 8,75 millions d'euros, à peine 5 % ont été utilisés. Pour Federgon, le message est clair : « Pour réellement parvenir à une réintégration solide sur le marché du travail, l’accompagnement est indispensable. »

Au mois de mai 2024, le nombre d’heures d’intérim prestées a augmenté de +1,26% par rapport au mois précédent (en données corrigées des variations saisonnières et des effets de calendrier).

plusieurs chiffres du rapport soulignent qu’il est important que les instruments du marché du travail spécialisés en la matière reçoivent un soutien supplémentaire de la part des pouvoirs publics.

Federgon, la fédération des prestataires de services RH, souhaite que la question des malades de longue durée figure en tête des priorités lors des prochaines négociations gouvernementales. A cet égard, un accompagnement obligatoire pour ceux qui peuvent encore travailler est beaucoup plus stimulant que des sanctions plus sévères.